Travailler sans posemètre!
-
- Messages : 143
- Inscription : 29 juin 2008 10:22
Travailler sans posemètre!
Je suis revenu de plus en plus à la règle du sunny 16, avec des variantes.
C' est facile, et c' est ce que raconte Tom , un vieux de la vieille.
Quand j' ai commencé la photo en 1957, mon mentor était un vétéran du photojournalisme, un ours mal léché. Il m' a mis en mains un vieux M3, avec un Summicron de 50. L' optique était une version rentrante, mais elle était tombée tellement de fois qu' elle était tirée et verrouillée en permanence. Il me donna aussi un sac en papier plein de rouleaux de Tri-X
Oh , c' est un nouveau film lancé par Kodak. Ca doit être du 200 ASA. Doit avoir du grain ce truc d' enfer . Must be grained that hell.
Sur le dos du boitier, il colla un papier qui disait:
Soleil brillant f/16 à 250
Personnages au soleil brillant f/11 à 250
Moins brillant f/11 ou f/8 à 250
Couvert /nuages/ ombres sombres f/5,6 à 250
Temps vraiment mauvais f/2,8 à 50
Intérieurs f/2 ou f/2,8 au 1/50ème ou au 1/25ème
Bars ou autres endroits minables f/2 au 1/10ème
Et apparemment, c' est comme ça que Tom, à 14 ans, a démarré sur le terrain.
Je retiens de cette anecdote qu' on peut se passer de cellule, et que c' est une bonne idée , avec des vieux boitiers comme j' ai en ce moment, de revenir à des idées simples.
Avec quand même , quand on utilise de vieux films comme la TRI-X ou la HP5, la précaution, quand on a besoin d' une exposition parfaite, de tourner d'un stop dans un sens et dans l' autre sa bague de diaph pour se garantir une expo pile-poil. ( Disons que c' est pour se rassurer...)
Je pense aussi qu' on devient bon en se familiarisant avec le même film assez longtemps, et en l' associant, pour la TRI-X en particulier au révélateur D-76. Ce qui permet, après une période d' expérimentation d' adapter son développement ( ah, les speedés de l' agitation...) aux résultats qu' on veut obtenir. Et à la tolérance , et du film , et du révélateur D-76.
Si ça intéresse quelqu' un, j' ai des notes un peu plus détaillées, du moins détaillées en vocabulaire.
Avec une 400 ISO, et , sans autre précision une vitesse du 250ème
f/16 Plein soleil / ombres fortes et précises
f/11 brillant, voilé, / ombres à bords assez doux.
f/8 couvert / ombres difficiles à distinguer.
f/5,6 sujet à l' ombre
f/4 coucher de soleil
f/4 lumière d' une fenêtre 1/60ème
f/2,8, lumière électrique en intérieur 1/30ème
f/2, nuit, rues éclairées 1/30ème
Deux interprétations pour du 400 ISO, ( alors qu' on la connait plus pour du 100 ISO...) et vous avez bien sûr noté que le patron de Tom considère la TRI-X comme de la 200 ISO...
Qu' est ce que c' est bien de se remettre en manuel...c' est un retour aux bases de la photo. georges h
C' est facile, et c' est ce que raconte Tom , un vieux de la vieille.
Quand j' ai commencé la photo en 1957, mon mentor était un vétéran du photojournalisme, un ours mal léché. Il m' a mis en mains un vieux M3, avec un Summicron de 50. L' optique était une version rentrante, mais elle était tombée tellement de fois qu' elle était tirée et verrouillée en permanence. Il me donna aussi un sac en papier plein de rouleaux de Tri-X
Oh , c' est un nouveau film lancé par Kodak. Ca doit être du 200 ASA. Doit avoir du grain ce truc d' enfer . Must be grained that hell.
Sur le dos du boitier, il colla un papier qui disait:
Soleil brillant f/16 à 250
Personnages au soleil brillant f/11 à 250
Moins brillant f/11 ou f/8 à 250
Couvert /nuages/ ombres sombres f/5,6 à 250
Temps vraiment mauvais f/2,8 à 50
Intérieurs f/2 ou f/2,8 au 1/50ème ou au 1/25ème
Bars ou autres endroits minables f/2 au 1/10ème
Et apparemment, c' est comme ça que Tom, à 14 ans, a démarré sur le terrain.
Je retiens de cette anecdote qu' on peut se passer de cellule, et que c' est une bonne idée , avec des vieux boitiers comme j' ai en ce moment, de revenir à des idées simples.
Avec quand même , quand on utilise de vieux films comme la TRI-X ou la HP5, la précaution, quand on a besoin d' une exposition parfaite, de tourner d'un stop dans un sens et dans l' autre sa bague de diaph pour se garantir une expo pile-poil. ( Disons que c' est pour se rassurer...)
Je pense aussi qu' on devient bon en se familiarisant avec le même film assez longtemps, et en l' associant, pour la TRI-X en particulier au révélateur D-76. Ce qui permet, après une période d' expérimentation d' adapter son développement ( ah, les speedés de l' agitation...) aux résultats qu' on veut obtenir. Et à la tolérance , et du film , et du révélateur D-76.
Si ça intéresse quelqu' un, j' ai des notes un peu plus détaillées, du moins détaillées en vocabulaire.
Avec une 400 ISO, et , sans autre précision une vitesse du 250ème
f/16 Plein soleil / ombres fortes et précises
f/11 brillant, voilé, / ombres à bords assez doux.
f/8 couvert / ombres difficiles à distinguer.
f/5,6 sujet à l' ombre
f/4 coucher de soleil
f/4 lumière d' une fenêtre 1/60ème
f/2,8, lumière électrique en intérieur 1/30ème
f/2, nuit, rues éclairées 1/30ème
Deux interprétations pour du 400 ISO, ( alors qu' on la connait plus pour du 100 ISO...) et vous avez bien sûr noté que le patron de Tom considère la TRI-X comme de la 200 ISO...
Qu' est ce que c' est bien de se remettre en manuel...c' est un retour aux bases de la photo. georges h
- Pierre-François
- Administrateur
- Messages : 2106
- Inscription : 25 nov. 2007 11:30
- Localisation : Arles
- Contact :
Re: Travailler sans posemètre!
Mais cela nous intéresse tous! il ne te reste plus qu'à mettre les notes en ligne! merci pour le partage de ta riche expérience!georgesh a écrit : Si ça intéresse quelqu' un, j' ai des notes un peu plus détaillées, du moins détaillées en vocabulaire.
- Nonor
- Modérateur
- Messages : 1112
- Inscription : 27 juil. 2008 18:36
- Localisation : Paris
- Contact :
- benoit c
- Modérateur
- Messages : 728
- Inscription : 10 juil. 2008 20:18
- Localisation : grenoble
- Contact :
Ah! le f16! je l'utilise de plus en plus, et avec beaucoup de plaisir. Mais je me limite aux luminosités que par expérience, je maîtrise le plus. En fait, je n'ai pas assez de repères sur les luminosités faibles, alors c'est trop casse-gueule. Par contre, en journée et en extérieur, quel que soit le temps qu'il fait, ça donne des résultats corrects.
Pas plus tard qu'hier, une petite sortie citadine avec le Rolleiflex standard de grand'mère autour du cou chargé en 100 iso... et juste la règle du f:16 dans la tête.
Pas plus tard qu'hier, une petite sortie citadine avec le Rolleiflex standard de grand'mère autour du cou chargé en 100 iso... et juste la règle du f:16 dans la tête.
-
- Messages : 53
- Inscription : 11 nov. 2008 15:12
J'utilise rarement un appareil sans cellule ou au moins sans posemètre. J'ai un appareil vissant et je trimballe ma cellule à main à chaque fois que je le sors. Je pratique ma cellule de façon moins addictive qu'au début. Généralement, ma cellule à main me permet de mesurer la lumière de façon assez précise à l'endroit où je photographie puis en fonction de la zone où je me trouve après avoir bougé, j'ajuste grâce à mon nez d'un, deux ou trois diaphs. Cela me permet également de gagner du temps et de me concentrer sur le cadrage.
L'avantage des boîtiers sans cellule est que l'on se concentre essentiellement sur la composition et on n'est pas troublé par la présence de diodes ou d'aiguilles qui détourne l'attention de l'acte principal.
Bon, cela dit, si j'oubleie ma cellule à main, j'essaye de me fier à la bonne vieille règle du f16 soleil...
L'avantage des boîtiers sans cellule est que l'on se concentre essentiellement sur la composition et on n'est pas troublé par la présence de diodes ou d'aiguilles qui détourne l'attention de l'acte principal.
Bon, cela dit, si j'oubleie ma cellule à main, j'essaye de me fier à la bonne vieille règle du f16 soleil...
- Nonor
- Modérateur
- Messages : 1112
- Inscription : 27 juil. 2008 18:36
- Localisation : Paris
- Contact :
Pour ma part, je trouve ça quand même confortable. Au prix d'une pile tous les 15 ans sur l'Olympus Pen-F, on a un aiguille qui indique un chiffre entre 0 et 7, et on a les chiffres correspondant sur l'objectif, elle est pas belle la vie? je parle de l'Olympus Pen-F et pas de mon autre appareil parce que l'aiguille y est discrète (tellement que dès qu'il fait sombre, on ne la voit plus...)
Par contre, quelle est la différence entre cellule à main et posemètre?
Par contre, quelle est la différence entre cellule à main et posemètre?
-
- Messages : 143
- Inscription : 29 juin 2008 10:22
Bonjour, posemètre est un terme générique pour désigner un appareil qui mesure ou indique le temps de pose en fonction de la quantité de lumière. Il y a eu des posemètres à extinction, d' autres comme le Posographe qui sont des systèmes de calcul avec des réglets à déplacer, et des posemètres plus classiques avec un cristal de sélénium ou un dispositif au Sulfure de Cadmium / CDS /, qui lui, nécessite une pile. C' est le cas de l' Olympus half-frame - Pen-F, cellule au Sulfure de Cadmium, pile d' origine, la PX-625.
Un posemètre peut être posé sur la griffe porte-accessoires, intégré dans un boitier et non couplé, intégré et couplé avec les bagues de diaphragme ou avec l' obturateur.
Une cellule à main, c' est un posemètre autonome.
Un posemètre indépendant est la solution retenue par les photographes de studio, avec la fonction flashmètre qui déclenchera les éclairs des flashs adaptés à la situation, et synchronisés. C' est une nécessité pour ceux qui laissent leur appareil sur pied, et font des mesures de luminosité près du sujet. ( scènes de spectacles ). Le posemètre indépendant permet aussi de travailler en lumière incidente sans déplacer son boitier. En moyen et en grand format, c' est même une nécessité.
Pour revenir à l' utilisation d' une cellule intégrée au boitier, oui, c' est confortable.
Mais, il reste beaucoup de boitiers argentiques qui n' ont pas de posemètre intégré, et qui ont un intérêt suffisant pour le photographe pour qu' il se procure un posemètre à main.
Et la solution de travailler sans posemètre , quand on a appris les bases des réglages d' un boitier , offre une sérieuse liberté par rapport aux instruments.
C' est pas sorcier de s'habituer progressivement à faire la différence entre hazy sunlight, cloudy bright, et cloudy day... Je vois ça de ma fenêtre...
Un posemètre peut être posé sur la griffe porte-accessoires, intégré dans un boitier et non couplé, intégré et couplé avec les bagues de diaphragme ou avec l' obturateur.
Une cellule à main, c' est un posemètre autonome.
Un posemètre indépendant est la solution retenue par les photographes de studio, avec la fonction flashmètre qui déclenchera les éclairs des flashs adaptés à la situation, et synchronisés. C' est une nécessité pour ceux qui laissent leur appareil sur pied, et font des mesures de luminosité près du sujet. ( scènes de spectacles ). Le posemètre indépendant permet aussi de travailler en lumière incidente sans déplacer son boitier. En moyen et en grand format, c' est même une nécessité.
Pour revenir à l' utilisation d' une cellule intégrée au boitier, oui, c' est confortable.
Mais, il reste beaucoup de boitiers argentiques qui n' ont pas de posemètre intégré, et qui ont un intérêt suffisant pour le photographe pour qu' il se procure un posemètre à main.
Et la solution de travailler sans posemètre , quand on a appris les bases des réglages d' un boitier , offre une sérieuse liberté par rapport aux instruments.
C' est pas sorcier de s'habituer progressivement à faire la différence entre hazy sunlight, cloudy bright, et cloudy day... Je vois ça de ma fenêtre...
- Nonor
- Modérateur
- Messages : 1112
- Inscription : 27 juil. 2008 18:36
- Localisation : Paris
- Contact :
Merci pour cette réponse très détaillée!
Je ne savais pas que Pen-F signifiait demi-format en phonétique japonaise... (si j'ai bien compris!)
Pour ma part j'ai eu des compacts Nikon (EF 200 puis EF 500) sans cellule pour la bonne raison que les réglages étaient fixes! (1/100s f5,6, 31 et 28mm), puis un F80 de Nikon qui mesure très bien la lumière et pour le moyen-format, je commence à me tâter... Là peut-être que les modèles sans cellule intégrée sont moins chers, alors...
Je ne savais pas que Pen-F signifiait demi-format en phonétique japonaise... (si j'ai bien compris!)
Pour ma part j'ai eu des compacts Nikon (EF 200 puis EF 500) sans cellule pour la bonne raison que les réglages étaient fixes! (1/100s f5,6, 31 et 28mm), puis un F80 de Nikon qui mesure très bien la lumière et pour le moyen-format, je commence à me tâter... Là peut-être que les modèles sans cellule intégrée sont moins chers, alors...
-
- Messages : 109
- Inscription : 26 oct. 2008 08:29
- Localisation : Gas, 28320, Eure et Loir
Bonjour,
Attention à propos de la pile au mercure PX 625 : cette pile ne serait plus fabriquée, car très polluante (mercure). Il y aurait une équivalence en taille mais dont la tension serait portée à 1,5 volt au lieu de 1,35 volt, ce qui provoquerait des erreurs de mesure. (entre autres serait affecté le prisme photomic des Nikon F, mais il est possible de le modifier pour retrouver des mesures correctes).
@+ Patrice
Attention à propos de la pile au mercure PX 625 : cette pile ne serait plus fabriquée, car très polluante (mercure). Il y aurait une équivalence en taille mais dont la tension serait portée à 1,5 volt au lieu de 1,35 volt, ce qui provoquerait des erreurs de mesure. (entre autres serait affecté le prisme photomic des Nikon F, mais il est possible de le modifier pour retrouver des mesures correctes).
@+ Patrice
- Nonor
- Modérateur
- Messages : 1112
- Inscription : 27 juil. 2008 18:36
- Localisation : Paris
- Contact :
Merci pour l'information, y a-t-il surexposition ou sous-exposition? J'ai racheté deux piles boutons il y a deux ans, le vendeur m'a dit qu'elles risquaient de ne bientôt plus se faire (Une pile tient quinze ans, ca tiendra donc 30 ans, oui je suis très prévoyant).
Pour l'instant, je trouve plutôt une tendance à la surexposition mais peut-être liée au tirage (le labo est obligé de me le tirer avec deux photos par feuille vu que c'est du demi-format), globalement la mesure de la lumilère paraît équivalente à celle de mon F80 (j'ai testé les deux dans une même situation)
Pour l'instant, je trouve plutôt une tendance à la surexposition mais peut-être liée au tirage (le labo est obligé de me le tirer avec deux photos par feuille vu que c'est du demi-format), globalement la mesure de la lumilère paraît équivalente à celle de mon F80 (j'ai testé les deux dans une même situation)
-
- Messages : 109
- Inscription : 26 oct. 2008 08:29
- Localisation : Gas, 28320, Eure et Loir
Bonjour,
Quinze ans ? Attention, ce ne sont pas des piles au lithium et j'ai déjà vu des piles au mercure dont l'électrolyte avait coulé. Pour décaper les contacts du porte piles sans l'abimer, bon courage ! L'inox ne devient plus inox du tout et l'oxydation s'installe de façon récurrente.
Sous-ex ou sur-ex, je ne sais pas. Mais la surtension provoquant une déviation plus importante de l'aiguille, je pencherais plutôt pour la sous-ex. Mais je n'en suis pas sur du tout.
@+ Patrice
Quinze ans ? Attention, ce ne sont pas des piles au lithium et j'ai déjà vu des piles au mercure dont l'électrolyte avait coulé. Pour décaper les contacts du porte piles sans l'abimer, bon courage ! L'inox ne devient plus inox du tout et l'oxydation s'installe de façon récurrente.
Sous-ex ou sur-ex, je ne sais pas. Mais la surtension provoquant une déviation plus importante de l'aiguille, je pencherais plutôt pour la sous-ex. Mais je n'en suis pas sur du tout.
@+ Patrice
-
- Messages : 156
- Inscription : 26 nov. 2007 15:25
- Contact :
quand j'ai commencé la photo avec un vieux tromblon avec cellule morte (un ricoh cosina estampillé revueflex avec des bosses partout), j'avais pas de cellule.
Réglage au pif... A 90% de bonnes photos.
Plus tard, j'ai eu un SRT 101 avec cellule... ben je pouvais plus m'en passer, la cellule me permettait de vérifier que je ne me plantais pas.
Réglage au pif... A 90% de bonnes photos.
Plus tard, j'ai eu un SRT 101 avec cellule... ben je pouvais plus m'en passer, la cellule me permettait de vérifier que je ne me plantais pas.
- karibouh
- Messages : 529
- Inscription : 08 janv. 2009 22:15
- Localisation : Paris - Île-de-France
J'avais cru comprendre que dans l'application de la règle du f/16, la vitesse correspondante était l'inverse de la sensibilité du film (ou à peu près).
Or, sur l'emballage de la pellicule, il indique une vitesse de 1/250 pour une sensibilité de 100. D'après ce que j'ai compris, j'aurais choisi une vitesse comme 1/100 ou 1/125.
Suis-je dans le faux ?
Or, sur l'emballage de la pellicule, il indique une vitesse de 1/250 pour une sensibilité de 100. D'après ce que j'ai compris, j'aurais choisi une vitesse comme 1/100 ou 1/125.
Suis-je dans le faux ?
Photographie (n.f.) : art de prendre son temps pour saisir l'instant présent
"Le joueur d'échecs, comme le peintre ou le photographe, est brillant... ou mat." (Vladimir Nabokov)
"Le joueur d'échecs, comme le peintre ou le photographe, est brillant... ou mat." (Vladimir Nabokov)
- benoit c
- Modérateur
- Messages : 728
- Inscription : 10 juil. 2008 20:18
- Localisation : grenoble
- Contact :
sur l'emballage, c'est f:16 pour les scènes de neiges hyper brillante et ce genre de trucs.
dans ce cas ça revient au même
l'emballage dit 100 iso, f:11 pour 1/250, pour "bright sunlight", ce qui fait effectivement 1/125 à f:16
dans ce cas ça revient au même
l'emballage dit 100 iso, f:11 pour 1/250, pour "bright sunlight", ce qui fait effectivement 1/125 à f:16
des sténopés, des sténopés : http://spiralcamera.com
des photos, des photos : http://bencapponi.com
des stages argentiques, une galerie à Grenoble : http://lestudiospiral.com
des photos, des photos : http://bencapponi.com
des stages argentiques, une galerie à Grenoble : http://lestudiospiral.com