planches contacts de films argentiques en numérique
-
- Messages : 3
- Inscription : 10 juil. 2013 10:56
planches contacts de films argentiques en numérique
Jean-Pierre 66 ans, journaliste récemment retraité et à ce titre photographe de presse durant de longues années. Voila pour la présentation.Avant d’évoquer mon sujet et faire part de mes différents essais, j'aimerais être certain qu'il entre bien dans la thématique du forum. Il s'agit de réaliser des planches contacts de films argentiques avec un appareil photo numérique et une table lumineuse. Avec un scanner c'est excellent mais très long. Bonne journée à tous
- SylvainM
- Modérateur
- Messages : 889
- Inscription : 05 sept. 2008 18:26
- Localisation : Chuiche :o)
- Contact :
Re: planches contacts de films argentiques en numérique
Ta présentation est courte mais complète, et laisse présager d'excellents échanges sur le forum!!
Ton sujet entre parfaitement dans notre domaine, à traiter dans la rubrique "Laboratoire numérique". Je me réjouis de discuter de cette idée avec toi car il est vrai que le scan de négas est long et fastidieux, et surtout nécessite de les manipuler beaucoup, ce qui augemente le risque de les détériorer. Ayant moi-même une petite table lumineuse, je vais certainement faire des expériences sous peu
La vérité attend. Seul le mensonge est pressé.
-
- Messages : 3
- Inscription : 10 juil. 2013 10:56
Re: planches contacts de films argentiques en numérique
J'ai fait des essais et je pense avoir conservé les prises de vues. J'ai un problème de lisibilité car la présence du grain du film est trop importante. S'il y a un groupe de personnes par exemple, on peut difficilement les reconnaître. Avec le scanner par contre c'est top. Je peux même, avec un logiciel de retouche, découper une des photos et l'expédier. Elle est parfaite même à un grossissement 200%. Pour classer mes photos je poursuis donc l'archivage, aujourd'hui, avec le scanner. Une minute trente par passage,à 400dpi. J'arrive ainsi à réaliser trente à trente cinq planches contacts en deux heures, laps de temps que je me suis fixé pour ce travail. Avec un second support films on peut augmenter la cadence, à mon avis. Pendant que le scanner travaille, on prépare la planche suivante. Cela demande une grande attention et de ne pas être dérangé. C'est pour cela que j'ai fixé à deux heures chaque opération. D'autant qu'après il faut bien entendu répertorier les planches avec des mots clés.
Pour ce qui est de la prise de vue numérique sur une table lumineuse je ne vois pas comment améliorer le résultat pour l'instant. Objectif macro ? Mieux travailler l'inversion négatif-positif ? Pour cela il faut absolument procéder avec les courbes. L'inversion automatique est catastrophique. En tous cas il faut comparer les temps d'intervention, manipulation comprise.
J'oubliais de dire que le procédé est très acceptable avec les diapositives sans les enlever de leur pochette de classement. Cela donne une planche contacts très lisible pour l'archivage. Par contre, pas question d'extraire une diapo de cette planche pour l'utiliser. Au-delà de 50% de grossissement ce n'est pas très beau. Donc si une diapo doit être imprimée, publiée, ou entrer dans un diaporama, il faut l'extraire et la numériser séparément. Mais avoir des planches numériques de tous ses classeurs diapos, permet un repérage rapide. Et on retrouve des trésors oubliés.
J'ai pris l'idée dans une revue dont je peux donner la référence si vous le souhaiter. J'ai écrit pour dire que je n'avais pas tout compris et que l'article était un peu bordélique, mélangeant la construction d'un caisson lumineux avec la prise de vues. Cette dernière méritait, à mon sens un descriptif pédagogique pas à pas. Ils avaient oublié de mentionner par exemple qu'il fallait un capteur de 15 millions de pixels au minimum. Mes premiers essais avec un Canon EOS10 à 6 millions ont été catastrophiques. Mais ils ne m'ont pas répondu, même après ma seconde demande de réaliser un article spécifique à la prise de vue et au traitement numérique. J'ai du les vexer....
Il y a un autre essai que j'ai commencé, mais pas poussé jusqu'au bout, c'est l'utilisation de mes objectifs argentiques - des superbes Takumar aux tons chaux- sur un appareil numérique. Pour des portraits ou des paysages ce n'est pas mal du tout. Mais ce sera un autre sujet pour le forum. Bonne journée.
Pour ce qui est de la prise de vue numérique sur une table lumineuse je ne vois pas comment améliorer le résultat pour l'instant. Objectif macro ? Mieux travailler l'inversion négatif-positif ? Pour cela il faut absolument procéder avec les courbes. L'inversion automatique est catastrophique. En tous cas il faut comparer les temps d'intervention, manipulation comprise.
J'oubliais de dire que le procédé est très acceptable avec les diapositives sans les enlever de leur pochette de classement. Cela donne une planche contacts très lisible pour l'archivage. Par contre, pas question d'extraire une diapo de cette planche pour l'utiliser. Au-delà de 50% de grossissement ce n'est pas très beau. Donc si une diapo doit être imprimée, publiée, ou entrer dans un diaporama, il faut l'extraire et la numériser séparément. Mais avoir des planches numériques de tous ses classeurs diapos, permet un repérage rapide. Et on retrouve des trésors oubliés.
J'ai pris l'idée dans une revue dont je peux donner la référence si vous le souhaiter. J'ai écrit pour dire que je n'avais pas tout compris et que l'article était un peu bordélique, mélangeant la construction d'un caisson lumineux avec la prise de vues. Cette dernière méritait, à mon sens un descriptif pédagogique pas à pas. Ils avaient oublié de mentionner par exemple qu'il fallait un capteur de 15 millions de pixels au minimum. Mes premiers essais avec un Canon EOS10 à 6 millions ont été catastrophiques. Mais ils ne m'ont pas répondu, même après ma seconde demande de réaliser un article spécifique à la prise de vue et au traitement numérique. J'ai du les vexer....
Il y a un autre essai que j'ai commencé, mais pas poussé jusqu'au bout, c'est l'utilisation de mes objectifs argentiques - des superbes Takumar aux tons chaux- sur un appareil numérique. Pour des portraits ou des paysages ce n'est pas mal du tout. Mais ce sera un autre sujet pour le forum. Bonne journée.
- Pierre-François
- Administrateur
- Messages : 2073
- Inscription : 25 nov. 2007 11:30
- Localisation : Arles
- Contact :
Re: planches contacts de films argentiques en numérique
autrefois il y avait des système fixé sur l'objectif pour dupliquer les diapos. Cela doit bien pouvoir fonctionner sur un numérique?
- Nonor
- Modérateur
- Messages : 1112
- Inscription : 27 juil. 2008 18:36
- Localisation : Paris
- Contact :
Re: planches contacts de films argentiques en numérique
Bonjour et
Il y avait un numéro de Compétences photos ou quelque chose comme ça il y a environ un an où un article détaillait un système et les astuces pour ce genre de prise de vue, en utilisant un agrandisseur d'ailleurs si je me souviens, pour fixer l'appareil photo. Ca doit être celui que tu mentionnes, effectivement un poil compliqué
Il y avait un numéro de Compétences photos ou quelque chose comme ça il y a environ un an où un article détaillait un système et les astuces pour ce genre de prise de vue, en utilisant un agrandisseur d'ailleurs si je me souviens, pour fixer l'appareil photo. Ca doit être celui que tu mentionnes, effectivement un poil compliqué
-
- Messages : 3
- Inscription : 10 juil. 2013 10:56
Re: planches contacts de films argentiques en numérique
C'est bien çà. A relire peut-être. Je peux le scanner éventuellement. J'ai trouvé une vieille colonne de Krokus vissée sur une planche pour fixer mon appareil